| | Petit luth africain à trois cordes (Peuhls, Maures) ou quatre cordes (Bambara) dont la table d’harmonie est fabriqué avec une peau de vache. |
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| N/A | ![]( "Informatique") |
| Abréviation de "Numérique / Analogique" (en anglais : Digital / Analog).
L'abréviation est utilisée dans le cas de convertisseurs numériques analogiques comme les sorties d'une carte audionumérique (CNA en français, DAC en anglais). |
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| | Instrument à cordes proche de la harpe et qui était l'instrument par excellence des Hébreux. |
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| | Petites timbales utilisées par les guerriers musulmans lors des croisades. Elles se jouaient toujours par paires. |
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| | Danse rapide de rythme ternaire qui, au XVIe siècle, suivait une danse lente. |
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| | Son d'ambiance climatique propre à la Trance. |
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| | Masse sonore assez homogène qui se déroule dans le temps et sur laquelle se greffent des évènements sonores. |
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| | Grandes timbales de cuivre utilisées pour marquer les heures dans la Perse ancienne. Adoptées par l'Islam, elles furent introduites en Occident. Les timbales de l'orchestre moderne en sont probablement dérivées. |
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| | Idiophone berbère constitué de n’importe quel objet métallique frappé avec deux autres objets de même nature. |
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| Narodna | ![]( "Monde") |
| narodna = « populaire » (féminin) ou « national » en Croate, Polonais, Tchèque, Slovaque, Hongrois, Russe (народный) et dans différentes langues d'Europe Centrale et de l'Est.
En Croatie, ce terme est devenu « narodnjak » qui designe la musique qui utilise des sonorités un peu orientales et gitanes parfois, avec pas mal de cuivres et d'accordéon. Une grande star de cette musique des années 80 en Yougoslavie était Lepa Brena.
Narodna désigne aussi toute musique qui trouve son inspiration dans les musiques traditionnelles ou tout simplement celle qui plaît au peuple... |
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| - Appliqué aux sons, cet adjectif signifie qu'ils ne sont ni dièse ni bémol. Lorsque le signe bécarre, formé par deux L, dont l'un est renversé, apparaît devant une note précédemment altérée, il annule l'effet d'altération.
- Appliqué à un instrument à vent, il signifie que cet instrument se joue sans clefs, les différents sons étant obtenus uniquement avec les lèvres.
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| Nay |  ![]( "Monde") |
| Nay, ney turc, ney iranien, nei (Azerbaïdjan), gasba, qasba, guesba, fahal, jawak, awada (Maghreb), shabbaba, shbiba, lula (Iraq), blil, blur, blul (Arménie), kaval (Turquie), floyera, kavali (Grèce), cavalli (Albanie), kaval, shupelka (Macédoine), caval (Bulgarie), tilinka (Ukraine, Roumanie), shamshal (Kurdistan), kawwala, suffara, gharb (Egypte), pelul, vamsha (Inde).
Ne pas confondre avec le naï roumain qui est une flute de Pan !
Flûte en roseau comportant généralement sept trous. L'embouchure est constituée par une des extrémités de la flûte taillée en biseau. L'insufflation se fait sur le bord terminal. Il existe différents types de nay qui diffèrent de par leurs embouchures qui peuvent être fabriquées dans des matériaux divers (ivoire, bois, corne, plastique). |
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| Negro spiritual (ou Negro spirituel) | |
| | Chant religieux des Noirs américains, dérivé des hymnes que les missionnaires enseignaient aux esclaves venus d'Afrique. C'était un chant monodique, structuré en appel réponse, dont le rythme était syncopé et le sujet puisé dans les incidents de la vie des esclaves. |
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| Neo-metal | ![]( "Rock") |
| | Metal moderne (on parlait auparavant de metal alternatif) débarrassé de tous ses clichés d'antan (cuir et clous, solos interminables, morceaux complexes, chanteurs à la voix haut perchée, double grosse caisse, attitudes de rock-stars, etc.)… mais lui-même bien souvent empêtré dans ses propres clichés (look passe-partout, solos inexistants, morceaux simplistes, chanteurs monocordes, attitudes pleurnichardes, etc.). Catégorie fourre-tout regroupant le rap metal, la fusion et le metal techno/indus, voire le punk-rock. |
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| | Esthétique musicale prônée par les compositeurs du début du XXe siècle qui effectuèrent un retour au langage du XVIIIe siècle. Elle correspondait à un rejet de l'esthétique saturée et surchargée du post-romantisme. Nombreux furent les compositeurs qui produisirent, à certains moments de leur vie, des oeuvres néoclassiques. Parmi eux, on peut citer Stravinski et son ballet Pulcinella, Prokofiev et sa Symphonie n°1, dite "Classique", et même Schönberg avec ses Suites. |
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| Signe employé dans la notation du chant grégorien. Ce sont des points ascendants ou descendants, posés au-dessus des prières pour servir d'aide-mémoire aux chantres.
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| | Musique synthétique proche de l'Ambient, on lui prête des vertus relaxantes. Héritière des musiques planantes des années 70. |
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| | Courant né en Belgique en 1988 emprunt d'Acid House qui a directement inspiré la Techno européenne. |
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| Ni (Nishadam) |  ![]( "Inde du Nord") |
| C'est la note RÉ en japonais, s'écrit aussi に en hiragana et 二 en katakana.
C'est aussi la note SI en Inde.
voir Swaras. |
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| De l'hébreu "lenagen" faire de la musique).
C'est une mélodie simple, d'inspiration religieuse, facile à mémoriser et à reprendre en choeur, dont la répétition lancinante peut provoquer (chez les sujets prédisposés!) une sorte de transe. Une grande partie des "nigunim" (pluriel) a été composée par un rabbin ou un membre d'une "hoyf" (école rabbinique) ou encore empruntée au folklore local et "sanctifiée ("mekadesh zayn a nign"). On en distingue -entre autres- les "Tish nigunim" (accompagnant un repas), les "Deveykus nigunim" (dédiés à Dieu, souvent non rythmés), les "Gass'n nigunim" (accompagnant les cortèges), les "Treredike nigunim" (mélodies à pleurer), etc. Les "paroles" d'un nigun ne sont, le plus souvent, que des onomatopées comme "bim, bom" dans la région de Moditz, "yadi, yadi" à Ger ou "oy, yoy" à Lubavitch.… |
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| Une des sept notes de la gamme indienne.
Ni correspond à Sib- ou Sib,
ni correspond à Si ou Si+. |
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| | Formule la plus raffinée du théâtre musical japonais. Son existence remonte au XVIe siècle. |
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| Terme désignant différentes formes de composition :
- Au XVIIe siècle, une suite de pièces, exécutée la nuit, en plein air, souvent par des instruments à vent. Le nocturne pouvait aussi faire intervenir des voix; il est alors comparable à la sérénade.
- Courte pièce isolée à caractère rêveur ou sentimental pour piano. Le premier à utiliser le titre nocturne dans ce sens fut l'Irlandais John Field, en 1814. Chopin impose le genre et fut suivi par Fauré, Satie, Borodine, etc.
- Depuis le XIXe siècle, le mot nocturne sert de titre à toutes sortes de pièces vocales et orchestrales très diverses.
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| Du latin natalis signifiant "jour de naissance". On nomme noëls les chants non liturgiques ou chansons populaires, particulièrement ceux d'origine française, célébrant la naissance du Christ.
Plusieurs organistes composèrent des variations à l'orgue sur ces mélodies. |
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| | Terme s'appliquant à une corde ou à un tuyau et désignant les points presque fixes qui apparaissent lorsque l'objet est mis en mouvement. |
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| | Valeur rythmique correspondant au quart de la valeur la plus longue de l'écriture occidentale classique. Elle est notée par une boule noire (d'où son nom) et symbolisée par le chiffre 4. |
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| | Voir grindcore. À ne pas confondre avec la noisypop, qui est en quelque sorte la mère du grunge, donc infiniment moins bruyante ! |
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| | Pièce mélodique de l'Antiquité grecque, basée sur une gamme et un rythme traditionnel. |
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| | Expression italienne signifiant "pas trop". Elle est souvent ajoutée à une indication de tempo : allegro ma non troppo, par exemple. |
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| | En musique de chambre, composition musicale pour neuf instruments, et la formation qui l'exécute. Le nonet est généralement composé d'un quatuor à cordes et d'un quintette à vents. On dit aussi parfois "nonetto", de l'italien. |
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| Normalisation (Normalize en anglais) | |
| Commande utilisée en informatique musicale qui maximise le volume d'un signal. Par construction tous les signaux générés le sont avec l'amplitude maximale possible.
Dans certains logiciels, cette option est accompagnée d'une possible spécification du maximum (on peut ainsi maximiser à 50% deux signaux que l'on veut ensuite mixer). |
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| | Cornemuse à soufflet du Northumberland (nord de l'Angleterre). |
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| | Terme désignant l'ensemble des signes utilisés pour noter la musique afin qu'elle puisse être reproduite à la lecture. Depuis l'Antiquité grecque, plusieurs systèmes de notation ont vu le jour, inventés pour tenir compte de l'évolution des techniques et des besoins de chaque époque. Depuis 1950, certains compositeurs tentent d'exprimer leur musique à l'aide de dessins dans le but d'établir un lien entre l'image et le son. Chaque compositeur ayant un système très personnel, les partitions doivent être accompagnées d'explications détaillées. |
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| Une note est un symbole représentant à la fois une durée et un son. La forme de la note représente sa durée, sa hauteur sur la portée représente le son (fréquence sonore), sa position horizontale indique le moment où elle est émise.
- Hauteur des notes :
Il y a 7 noms de notes qui s'écrivent de deux manières différentes:
DO, RE, MI, FA, SOL, LA, SI (notation latine) ou C, D, E, F, G, A, B (notation anglo-saxonne)
Ces notes forment une série de sons allant du grave à l'aigu : c'est la série ascendante. Une octave est la distance qui sépare deux notes de même nom, dans deux séries consécutives.
La hauteur de la note sur la portée indique lequel des degrés de la gamme définie par l'armure de la clé représente la note. Il peut y avoir des altérations.
- Note :
Une même note peut parfois être écrite de plusieurs manières différentes. C'est l'enharmonie.
- Durée des notes :
La forme de la note indique sa durée. Dans l'ordre décroissant des durées, on trouve :
- la ronde,
- la blanche = 1/2 ronde,
- la noire = 1/2 blanche,
- la croche = 1/2 noire,
- la double croche = 1/2 croche,
- la triple croche = 1/2 double croche
- la quadruple croche = 1/2 triple croche
Ces durées peuvent être combinées entre elles grâce aux liaisons. En liant une blanche à une croche de même hauteur, par exemple, on obtient une note de durée égale à la somme de ces deux durées.
Les notes pointées indiquent que leur durée est de une fois et demi la durée affichée.
Par exemple, une noire pointée est une note de durée égale à une noire plus une croche.
- Ecriture :
Les notes s'écrivent sur la portée.
Lorsque plusieurs notes sont jouées simultanément elles se trouvent sur la même verticale et forment un accord.
Accrocher des notes sert à indiquer à l'interprète que celles-ci sont jouées dans une même phrase. En ce cas, le nombre de barres remplace le nombre de crochets (une seule barre signifie une croche, deux barres une double-croche...).
Lorsque des notes de durées différentes sont accrochées, la lecture des durées respectives devient un peu plus complexe.
Pour déterminer la durée d'une note donnée, repérez le nombre maximal de barres en contact avec sa tige. Ce nombre vous indique la durée de la note.
Il est possible d'écrire des signes indiquant qu'aucune note n'est jouée durant un intervalle de temps. Ces signes sont appelés silences.
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| | Terme de l'écriture contrapuntique qui signifie que chaque note de la mélodie est accompagnée par un contrechant : celui-ci correspond donc exactement au rythme de la mélodie. |
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| | Note étrangère à l'harmonie, laquelle procède par mouvement conjoint. Dans la phrase do, ré, mi, par exemple, le do et le mi sont harmonisés et le ré est considéré comme une note de passage. |
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| | Note incluse dans une harmonie sans en faire partie. Si l'on plaque l'accord do, mi, fa dièse, sol, le fa dièse n'ayant pas de fonction harmonique, est considéré comme une note étrangère. |
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